Se former aux techniques comptables : une étape indispensable pour entrevoir une carrière stable dans l’une des professions de la comptabilité. Mais une étape seulement.
Dans le monde professionnel occidental de ce début de siècle, la formation est une condition nécessaire mais insuffisante. En effet, il est aujourd’hui nécessaire de mesurer et faire valider un niveau de compétences.
Pour cela l’obtention d’une accréditation ou d’une diplôme professionnel est nécessaire. C’est l’étape ultime d’un processus d’acquisition d’un savoir : celle qui transforme la connaissance en compétence.
C’est ce que propose l’Ecole Schulz à Genève.
Des reconnaissances multiples, délivrées par des structures d’origine diverses. La délivrance d’un diplôme ou d’un titre professionnel peut avoir des origines diverses.
Le profil du « certificateur » (c’est le nom que l’on donne à l’institution qui délivre un diplôme/certificat/titre final) peut être de nature publique ou privée, professionnelle ou académique, reposer sur un texte législatif ou non.
Ainsi, tout le monde connait en Suisse, mais aussi en France voisine et dans tous les pays d’Europe, les diplômes, fédéraux, cantonaux, d’Etat, nationaux, etc… il s’agit de reconnaissances qui reposent sur un texte législatif et dont la validité peut aller au-delà des propres frontières de l’autorité qui les décernent. (Merci Bologne). Il s’agit en général de diplômes anciens, donc connus, rassurants. A l’inverse, ces diplômes – nécessitant un long temps de gestation – ne concernent très souvent que des cursus très traditionnels.
Les reconnaissances professionnelles
Au cours de ces vingt dernières années, les reconnaissances professionnelles ont pris de plus en plus d’importance. Ainsi, pour trouver un travail dans le secteur de l’informatique, une certification Microsoft ou Cisco sera perçue comme toute aussi utile et décisive pour décrocher le sésame de l’emploi qu’un diplôme « d’Etat ». La capacité à justifier une compétence professionnelle précise est devenue un critère de recrutement essentiel car synonyme d’efficacité, d’opérationnalité professionnelle immédiate.
Pour illustrer ce besoin de mesure concrète d’un niveau, dans le même esprit que les certifications professionnelles présentées ci-dessus, se sont développées depuis près de 30 ans des accréditations permettant de mesurer un niveau linguistique. Ainsi dans tout CV crédible, le niveau de langue est aujourd’hui matérialisé par une note ou un chiffre obtenu à l’une des nombreuses évaluations : Toeic, Toefl, Ielts, Cambridge, Goethe Institut, etc.
Ces certifications – délivrées par des structures privées – véritablement multinationales de l’évaluation ont – par la crédibilité de leur processus d’évaluation – obtenu une reconnaissance tout aussi notable qu’une reconnaissance issue d’une institution publique.
Les reconnaissances privées
Enfin, il existe des reconnaissances privées, territoriales, qui trouvent une utilité sur le marché de l’emploi de par la notoriété du certificateur. (Une notoriété basée en général sur la crédibilité et l’ancienneté). Ces reconnaissances privées s’appuient en général sur la capacité professionnelle prouvées des récipiendaires.
Il en est ainsi des diplômes de l’IMD en Suisse ou de l’INSEAD en France pour les cursus d’Executive MBA dont la reconnaissance est mondiale, ou du Cours Florent à Paris pour les apprentis artistes qui se destinent aux métiers de comédiens. Ils ne viendraient à l’idée d’aucun candidat à l’entrée dans ces instituts de demander si « le diplôme de l’institut est reconnu ». La réussite des alumni est le critère qui donne toute sa valeur au titre délivré.
Mutatis Mutandis, il en est ainsi de l’Ecole Schulz sur la place de Genève qui depuis plus de 70 ans forme des élèves aux métiers du commerce et de la comptabilité.
Dans le cadre de son partenariat avec BetterStudy, l’Ecole Schulz propose des diplômes d’aide-comptable (puis de comptable). L’obtention d’un diplôme de comptabilité de l’Ecole Schulz est un gage d’employabilité auprès du monde professionnel genevois.
Un diplôme qui se prépare à distance MAIS en bénéficiant de deux séances d’appui hebdomadaires via un système de visioconférence Skype. Une méthode idéale pour étudier la comptabilité suisse quand on veut, où l’on veut, mais en bénéficiant des conseils et explications d’un professeur chevronné.